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“Au moment de la clôture de la vente, Cadent recevra un versement initial de 210 millions de dollars et sera admissible à des versements échelonnés pour un montant total potentiel de 770 millions”, précise de son côté la firme américaine basée dans le Massachusetts.
Le géant pharmaceutique suisse précise que cette acquisition va renforcer son portefeuille dans le domaine des neurosciences, sur la schizophrénie et les troubles du mouvement.
L’accord porte aussi sur les droits du MIJ821, une molécule encore au stade clinique dont Novartis a obtenu la licence en 2015 et que Cadent développe pour le traitement des dépressions dites résistantes.
“L’acquisition de Cadent s’inscrit dans une longue collaboration et une ambition partagée de faire émerger de nouveaux remèdes neuropsychiatriques visant les causes profondes de la maladie”, relève Jay Bradner, président de l’Institut Novartis pour la recherche biomédicale (NIBR).
La transaction devrait être bouclée dans le courant du premier trimestre 2021 sous réserve des autorisations requises.
(Silke Koltrowitzversion française Henri-Pierre André, édité par Jean-Philippe Lefief)
